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1.
Canadian Social Work Review ; 39(1):63-80, 2022.
Article in English | ProQuest Central | ID: covidwho-2025304

ABSTRACT

This study explores urban social workers’ experiences working the front lines during COVID-19’s first wave. It aims to uncover social workers’ shifts in roles and responsibilities across the health and social service network, to illuminate how these shifts impacted them, and ultimately to derive meaning from these experiences to inform future directions for the profession. Eight social workers from a range of contexts were interviewed. Our analyses revealed that, while all participants described some negatives of front-line pandemic work, the frequency and intensity of these moments were exacerbated by organizational and policy responses. When social workers were expected to work outside of their scope of practice, when their skills were overlooked or underutilized, and when their organizational contexts focused on individual distress rather than collective support, they reported intensified periods of distress. If we hope to retain the health and wellbeing of our workforce and preserve the value of the profession, systemic preventative responses must take priority. Building opportunities for collective on-going peer support and debriefing, leveraging the expertise of social workers to address psychosocial issues, and including the voices of front-line workers in the development of solutions to pandemic-related hardships may help reduce social work distress and improve front-line workers’ responses to social issues.Alternate :Cette étude explore les expériences des travailleuses sociales et des travailleurs sociaux de première ligne en milieu urbain durant la première vague de COVID-19. Elle vise à mettre en lumière les changements de rôles et de responsabilités dans le réseau de la santé et des services sociaux, afin de montrer comment ces changements les ont affectés et prendre en compte ces expériences pour les orientations futures de la profession. Huit travailleuses sociales et travailleurs sociaux de différents milieux ont été interviewés. Nos analyses suggèrent que bien que tous les participants aient vécu des expériences négatives dans le cadre du travail de première ligne durant la pandémie, la fréquence et l’intensité de ces expériences ont été exacerbées par les politiques et le contexte organisationnel. Les travailleuses sociales et les travailleurs sociaux ont signalé des périodes de détresse plus importantes lorsqu’ils devaient oeuvrer en dehors de leur champ de pratique, que leurs compétences n’étaient pas prises en compte ou qu’elles étaient sous-utilisées et que les contextes organisationnels priorisaient la détresse individuelle plutôt que le soutien collectif. Si nous voulons maintenir la santé et le bien-être de nos travailleuses et travailleurs, et préserver la valeur de notre profession, il importe d’interventir de manière systémique et préventive. Des strategies telles que le soutien collectif par les pairs, le debriefing, la mobilisation de l’expertise des travailleuses sociales et des travailleurs sociaux pour intervenir au plan psychosocial, et l’inclusion des voix des travailleuses et travailleurs de première ligne dans le développement de solutions pour répondre aux difficultés reliées à la pandémie pourraient aider à réduire la détresse et améliorer leur réponse aux problèmes sociaux.

2.
Canadian Social Work Review ; 39(1):27-43, 2022.
Article in English | ProQuest Central | ID: covidwho-2025303

ABSTRACT

On March 13, 2020, Mount Royal University responded to the pandemic declaration of the World Health Organization (WHO) and local health directives by stopping all face-to-face learning, including practicums. This sudden cessation was done for reasons of safety and liability. Rapid shifts were required, presenting functional, ethical, and privacy challenges for students and faculty who recognized that practicums are vital for social work students preparing to enter practice. Using a theoretical framework of compounding complexity, the paper considers eight key learnings from the authors’ experiences managing a social work practicum program, contemplating implications for current and future crisis-oriented fieldwork. This paper goes further to challenge a re-evaluation of social work as a result of the pandemic, social movements including the Black Lives Matter movement, as well as the changing socio-economic factors that influence service users’ lives. These conversations have emerged within the pandemic context and afford a moment to reflect on the place and role of social work.Alternate :Le 13 mars 2020, Mount Royal University a répondu à la declaration de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au sujet de la pandémie et aux directives sanitaires locales en arrêtant tout apprentissage en présentiel, dont les stages de formation pratique. Cet arrêt brutal a été fait pour des raisons de sécuritié et de responsabilité. Reconnaissant que les stages sont essentiels pour les étudiant.e.s en travail social se préparant à exercer la profession, des changements rapides ont été nécessaires, présentant des défis fonctionnels, éhiques et de confidentialité pour les étudiant.e.s et les professeur.e.s. À l’aide d’un cadre théorique de complexité croissante, l’article examine huit enseignements clés tirés des experiences des auteur.e.s dans la gestion d’un programme de stage en travail social, et envisage les implications actuelles et futures pour les stages en contexte de crise. Cet article va plus loin en questionnant et demandant une redéfinition du travail social en réponse à la pandémie, les mouvement sociaux dont Black Lives Matter, ainsi que de l’évolution des facteurs socioéconomiques qui influencent la vie des usagers.ères. Ces conversations ont émergé dans le contexte de la pandémie et offrent un moment de réflexion sur la place et le rôle du travail social.

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